Chinimala et Azyamee'

Azyamee' continuait son mouvement, quand Chinimala l'attrapa avec ses deux mains. Il était sur quelle accepterait se qui se passerait ensuite. Le mouvement semblait long, mais si beau. Leurs regards se croisait toujours, Azyamee' lui l'attrapa de chaque coté au niveau du bassin. Et là, leurs deux lèvres se touchèrent et commençèrent à s'embrasser avec la langue... Bref un moment merveilleux. Azyamee' avait chaud, très chaud.

Chinimala était à présent collée à lui. Elle ne voulait pas que cela s'arrête.

Quand ce mouvement cessa car ils séparaient leurs lèvres, elle eut l'impression que ce moment avait duré à la fois une éternité et trop peu longtemps. Ayant fermé les yeux au moment crucial, elle les rouvrit et regarda Azyamee' dans ses yeux à lui, passionément. Elle ne pouvait rien prononcer, elle l'aimait, elle était bien entre ses bras, elle ne voulait rien gâcher, même si à présent le soleil se couchait...

Après qu'ils finirent de s'embrasser, ils étaient toujours collés l'un à l'autre se regardant dans les yeux. Azyamee' commeça à dire avec un grand sourire d'un ton vraiment doux :

- Nous rentrons ?

Rien ne serait pareille maintenant, les deux personnes s'aimaient tendrement. Azyamee' enleva ses mains tout en la carressant. Ses yeux ne pouvaient la quitter.

Chinimala enleva à son tour les mains de son visage. Elle le regardait toujours. Elle répondit :

"Oui, rentrons..."

Elle lui prit une main et se leva doucement avec lui. Elle voyait à présent une lueur dans les yeux de Azyamee', une lueur qu'elle n'avait encore jamais vue...elle était sûre d'avoir la même chose.
Chinimala, à contre-coeur, détourna son regard en se disant qu'elle pourrait le regarder comme elle le désirerait, maintenant. Elle regarda droit devant elle, puis finalement replongea ses yeux dans la contemplation du visage de son nouveau tendre aimé. Elle descendit le regard vers son cou, sa poitrine, puis regarda à nouveau devant elle. Enfin, il sortirent de l'eau, marchant doucement. L'elfe du feu, dame de la plaine, sentait toujours l'autre regard braqué sur elle.

Après que Chinimala enleva les mains de son visage et sortirent de l'eau, Azyamee' la regarda un bon moment. Puis lacha la main de sa bien aimée pour remettre son armure qui se trouvait non loin de là. Après avoir revétut son armure, il se remit à coté de Chinimala lui reprenant la main. Ils partirent silencieusement. Puis Azyamee' commença :

- Je t'aime... trop.

Sur ces mots Azyamee' replongea son regards sur Chinimala.

Pendant qu'Azyamee' revêtait son armure, Chinimala le regardait tendrement. Elle restait en maillot de bain. Elle sentait à nouveau un sentiment autre lointain, mais elle fichait. Elle souriait, le regardait, tripotait une mèche de cheveux, le regardait. Puis il prit sa main et lui dit une chose à laquelle elle répliqua d'un ton joyeux mais doux et sincère :

"Moi aussi, je t'aime."

Elle regarda droit devant soi, exposant son profil à Azyamee'. Ils marchaient, mais Chinimala pressa l'allure. Elle était contente, commençait à vouloir se défouler et voulait vite être rentrée dans la cabane. Elle souriait toujours, et regardait pafois son bien-aimé. A présent, ils marchaient plutôt vite.

Suite à la réponse de Chinimala, Azyamee' souria. Puis le pas s'accéléra, peu après ils arrivaient à la cabane. Azyamee' se demandait toujours et encore se qui se passerait ensuite. Viveront t-ils ensemble ? Se marieront t-ils ...? Puis ils étaient arrivés à la portes d'entrer.

- Vas-y entre.

Il avait de nouveau une nouvelle tentation de l'embrasser mais sa passa.

Suite à son dire, Chinimala entra. Elle regarda les deux lits puis se donna une gifle intérieurement.
Elle regarda derrière elle : Azyamee' avait fermé la porte et la regardait encore.
Alors, d'un movement brusque mais passionné, Chinimala se précipita à son cou et l'embrassa fougueusement. Dans l'élan, Azyamee' fut plaqué contre la porte.

Dès que Chinimala fut entré, Azyamee' ferma la porte et au moment même Azyamee' la regarda et celle-ci se jeta sur lui en l'embrassant . Azyamee' fut terriblement surpris et fut aussi colé sur la porte. Il mit ses mains autour d'elle pour vraiment la collée. Azyamee' ne bougeait plus à par sa bouche et sa langue qui décrivait diverses mouvement plutot vif et aggressif.

HRP
Cette fois à toi ^^

Chinimala se colla encore plus contre lui. Puis, toujours dans un élan fougueux et en l'embrassant, elle le prit par la taille et commença à bouger avec lui, elle marchant à reculons. Lorsqu'ils furent arrivés près du lit, Chinimala les tournèrent de façon à ce que leurs places soient inversées et se pencha en avant.
Alors, dans un mouvement lent, ils tombèrent tous les deux sur le matelas moelleux en s'enfonçant. Chinimala déplaçait ses mains en le caressant, et finit par les placer sur ses joues.
Elle ne pensait plus à rien si ce n'est qu'à ses gestes. Chaque seconde était précieuse, et pour rien elle ne le lâcherait de son gré à ce moment...

Azyamee' se retrouva, elle et lui, sur un des lits s'embrassants toujours. Elle le caressait jusqu'a quelle mit ces mains sur ses joues. Azyamee' lui, décidit les main aux niveaux des fesses puis les remonta. Ses mains se trouvaient au dos. Il remis ses mains sur les fesses de Chinimala. Puis, il les remit au niveau du bassin ne sachant plus quoi faire à cause de la surprise. Bref, ils ne s'arrêtaient plus, prouvant leurs amour l'un à l'autre. Ils s'embrassaient effoncé dans le lit.

[hj: hey, c'est toi qui va trop loin là! Bon, moi désolée, mais je continue pas comme ça. On fait un accéléré et on se retrouve une demi-heure plus tard, ou on fait rien?]

HRP
Voilà c'est mieux ? Jte laisse éditer ton messages puis j'éditerais le mien !

Lorsqu'il fit pour la deuxième fois un certain geste, Chinimala se mit à hésiter et à réfléchir.
Il se connaissaient depuis le début de l'après-midi. Elle venait de faire quelque chose à laquelle elle avait toujours eu une indifférence ponctuée de répugnance. Possédée par l'amour, elle n'avait pas réfléchi.

"Tu peux toujours renoncer, sauf à la guerre."

C'était Naïra, une amie d'Elwine, qui lui avait dit cela. Mais maintenant, elle doutait. Ils restèrent un moment comme ça, puis elle prit sa décision.

Sans s'arrêter de l'embrasser, elle se mit en position assise, entraînant l'elfe avec lui (ce qui n'était pas chose facile, vue la différence de taille...).
Puis elle arrêta, doucement, de l'embrasser. Puis elle dit :

"Désolée et...merci."

Elle ne savait pas vraiment pourquoi "merci", mais elle espérait qu'il n'allait pas être vexé et le regardait toujours.

Azyamee' continua jusqu'a que celle-ci s'arrêta, elle lui dit " désolée et...merci ". Sur ces mots Azyamee' souria, puis bizarrement répondu :

- C'est moi qui est désolé j'aurai du te stopper au moment où tu m'as attrapré. Bref, c'est tout moi... Je ne sais pas agir au bon moment. Surtout que l'ont se connat depuis peu.

Azyamee' réfléchissa, regardant au plafond. Il descendait du lit et se leva ne bougeant plus, attendant quelque chose.

Lorsqu'il se mit à sourire, Chinimala fut soulagée et sourit aussi.
Puis elle dit en baissant la tête :

"Non, je...c'est ma faute. J'étais complètement hors de moi, je..."

Elle leva la tête :
"Enfin tu sais, je t'aime quand même."

Elle le regarda et sourit comme si elle le suppliait. Puis elle baissa encore la tête et murmura :

"Tu veux toujours dormir ici?"

Azyamee' l'écouta attentivement, puis il finit par répondre après qu'il la regarda.

- Je sais que tu m'aime parce que moi aussi je t'aime... mais dison que... dans mon pays natal, faire se que je viens de faire est un délie. Car, là-bas, un soldat n'as pas le droit d'aimée jusqu'a qu'il est 35 ans au moin...

Azyamee' semblait vraiment pas fière de se qu'il venait de faire. Puis, il commença à s'approcher de la porte, la tête baissé, près à sortir. Hanté... par ses souvenirs.

- Crois moi c'est mieux comme sa...

Azyamee' avait jamais connu l'amour jusqu'a aujourd'hui mais son passé était plus fort.

Chinimala l'écouta silencieusement, tête baissée. Lorsqu'il s'approcha de la porte, elle se leva, tête toujours baissée, poings sérrés timidement.
Elle dit d'une voix ferme et presque brusque :

"Tu n'es plus dans ton pays natal. Tu as le droit d'aimer. L'âge n'a aucune importance. Si tu redoutes tes anciennes pratiques, c'est que tu es faible, peureux et que tu n'as aucune volonté. Tu as quitté ton pays pour une raison que j'ignore ; assume-le."

Elle resta silencieuse. Des larmes se mirent à couler sur ses joues. Les yeux plissés, en colère, les cheveux tout à coup démélés et redressés quelques peu, elle leva la tête et lui cria :

"Comment crois-tu que j'ai fait, moi? Quand mes parents sont morts, tu crois que je me suis enfermée dans ma chambre pour la vie en pleurant? Ou pêcher pendant des années pour rendre hommage à mon père et me gâcher la vie? Et quand j'ai dû quitter ma reine, ma tutrice, mes amies, toutes celles qui m'ont servies, tu crois que j'ai tout abandonné à leurs souvenirs?!?!"

Elle avait tout crié sans respirer et le regardait dans les yeux. Elle reprit une bouffée d'air qui faisait entendre qu'elle pleurait et hurla de plus belle :

"TU N'AS PAS LE DROIT DE TE LAISSER FAIRE PAR TON PASSE! LE PASSE, C'EST LE PASSE! TES ANCIENNES REGLES, ON S'EN FOU! JE L'AI REMARQUE DES QUE JE T'AI VU : TU ES FIER DE TOI DE NE PAS OUBLIER CE QUE TU PENSES IMPORTANT POUR ME...laisser tomber..."

Elle avait soudain baissé la voix. Elle se rapprocha de lui et dit doucement :
"S'il te plaît...reste..."

Azyamee' l'écouta et semblait alors sur quelle l'aimait mais se quelles disaient étaient presque barbare. Il regarda et vu quelle pleurait, seulement elle avait dit quelque chose qui ne fallait dire " Tu as quitté ton pays je l'ignore : assume-le ". Il répondit doucement gardant sa colère en lui :

- Tu veux savoir ? Je n'est plus de pays... Rasé de la carte... Tous morts, mes seigneurs, mes parents...

Il sembla monter le son de sa voix d'un coup.

- TOUS ! CROIS-TU QUE JE L'EST DECCIDE AINSI ?!! DE QUITTER MON PAYS ?!!

Il rebaissa la voix.

- Mon passé, est mon présent et mon futurs. C'est se qui me rapelle tout se que j'ai vécu.

Chinimala l'écouta. Elle fut un peu choquée par la ressemblance de sa parole avec la sienne.
Soudain, ses yeux semblèrent lancer des éclairs.

*Alors comme ça, depuis que tu m'as rencontrée, c'était ton passé, ton présent et ton futur? Moi, j'étais quoi, alors?*

Elle inspira fort pour se laisser le temps de réfléchir (ce qui la fit renifler) et dit alors :

"Très bien. Tu voulais partir? Eh bien pars. Je ne veux plus jamais te revoir ici. Ou n'importe ailleurs."

Elle prit son sabre et un chiffon sur la table à côté d'elle et commença à l'astiquer avec énergie.

*Du moins jusqu'à ce que tu aies changé d'avis...*

Azyamee' semblait alors comme soudainement calme et soulagé. Comme si il venait de s'enlever une épine du pied. Il répliqua fermement comme la fois où il croyait que s'était un ennemis. Il remit sa cape elfique sur lui et ouvra la porte.

- Où donc est le Palais ? J'ai des affaires avec le prince et la reine. Tu veux savoir pourquoi ? Parce que se qui c'est passé chez moi va se passer ici. Je le crain fort, je suis la pour aider puis je repartirais autre part. Soit en fière et sur, adieu.

Puis il attendait la réponse mais il finit par dire.

- Je ne suis là que pour quelques semaines, ont à très peu de chance de se revoir ensuite.

Au début, Chinimala ne répondit pas. Elle astiquait toujours son sabre avec une énergie anormale. Mais la deuxième parole fut un peu plus convaincante, bien qu'elle murmura incompréhensiblement.

"Rien à foutre...

-Le Palais est à l'opposé de la rivière par rapport à ici. Bonne chance et...sauve-nous."

Elle astiquait normalement à présent. Puis elle ajouta :

"Si vous avez besoin d'aide, je suis là. Faut pas me sous-estimer, non plus. Maintenant, adieu."

Sur ces mots Azyamee' Partit...

Chinimala le laissa, puis elle alla tranquillement à la fenêtre le voir partir en direction du palais.
Enfin, elle se parla toute seule, comme à son habitude :

"Bon, marre de ce sabre, il sera jamais brillant. De toute façon, y a que ces sales épées pour être brillantes."

Sur ce, elle se changea, sortit de chez elle et s'allongea sur le dos. ç'allait être une soirée ennuyeuse, pour sûr, comme d'habitude...

--fin du sujet--